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4eme de couverture :
"Il faut se raconter pour témoigner de Jésus". Ce livre procède de cet impératif et fait alterner les chapitres autobiographiques et les chapitres historiques et théologiques, confrontant un bloc-notes individuel avec des évaluations collectives, une histoire personnelle d’Église avec l’histoire de l’Église.
Cette perspective est doublement éclairante : l’histoire personnelle est instruite par le récit chrétien et celui-ci trouve une illustration, une incarnation dans celle-là.
Le chapitre 1 décrit la disparition des curés de campagne que le chapitre 2 explique en mettant en évidence les infidélités cléricales à l’Évangile dans l’histoire, le chapitre 3 raconte l’aventure d’un laïc qui se lance en théologie, participant à une révolution que Vatican II avait rendue possible, parmi d’autres, que le chapitre 4 récapitule. Le chapitre 5 évoque le rejet d’un laïc par un prêtre, lequel s’inscrit lui-même dans le revirement de l’Église, après le concile, ce revirement dont le chapitre 6 présente les funestes conséquences, suivant le saut périlleux arrière de l’Église dans le Moyen-Âge, tel que Dietrich Bonhoeffer l’avait pressenti. Enfin, le chapitre 7 montre jusqu’à quel point d’inhumanité peut conduire le système clérical, quand il piétine le vivant.
L'auteur :
Christian Delahaye est journaliste et théologien, spécialisé dans le dialogue inter-religieux, il collabore au Quotidien du Médecin et enseigne à la faculté de théologie de l'Institut catholique de Paris ainsi qu'au Centre d'études théologiques de Normandie.
L'avis de votre libraire :
Un essai qui analyse le métier et la vocation de curé dans les villes et les campagnes après la révolution idéologique de Vatican II.