Que celui qui est sans péché ...

Entre minimisation et surenchère du péché

Collection "Perspectives anabaptistes"

4eme de couverture :

Le péché n’a pas bonne presse… Sommes-nous d’ailleurs encore pécheurs ? Un tel langage est-il toujours pertinent ? Dans le contexte actuel, nous nous considérons d’abord comme des victimes, mais pas comme des coupables. Ne serait-il pas nécessaire de (re)trouver une juste place pour notre responsabilité face au mal ? Et de (re)trouver une juste appréciation de notre condition de victime ? Existe-t-il un « juste équilibre dans le péché », qui nous permette de ne tomber ni dans les ornières d’une culpabilisation malsaine ni dans celles d’une minimisation de notre faute ?

Telles sont les questions abordées dans cet ouvrage, par le biais d’une approche pluridisciplinaire (théologie, éthique, psychologie et spiritualité). Les différentes contributions présentées se veulent autant de pistes pour « apprendre à devenir pécheur » (Stanley Hauerwas), sans pour autant nous faire oublier le formidable message de libération et d’espérance porté par l’Évangile de Jésus-Christ.

La présente publication est le fruit des journées d’étude organisées par le Centre de formation du Bienenberg, près de Bâle, du 22 au 24 septembre 2017.

Les auteurs : 

Voici un ouvrage collectif sous la direction de Denis Kennel et Michel Sommer avec les contributions de Marcus Weiand, Daniel Plessing, Hanspeter Jecker, Frédéric de Coninck, Janie Blough, Lukas Amstutz, Michel Sommer et Denis Kennel. 




L'avis de votre libraire : 

Voici un livre d'étude très complet sur un sujet de théologie peu étudié mais au centre de la vie chrétienne, il occupe une grande partie de la Bible et pourtant on cherche à l'éluder. Ce n'est pas le cas de ce livre !