Voulez-vous être heureux ?

Que seriez-vous prêt à changer dans votre vie pour être plus heureux ?

Comme le dit Yohann Tourne dans ce livre : « Le changement fait peur, c’est bien connu et c’est normal. Enfin presque normal : il n’y a pas grand monde qui refuserait la cagnotte de l’Euromillions, le grand amour ou la guérison d’une maladie grave parce que cela produirait trop de changement ! Dans le changement il y a bien sûr le risque de l’inconfort, des complications, de la régression mais il y a aussi la promesse de plus de bonheur. »

Ce que nous propose ici l’auteur, ce ne sont pas les promesses de la société, ou les idées des grands penseurs sur le bonheur. Ce sont les paroles de la Bible et leurs implications dans notre vie. Il explique que ce sont elles qui nous permettent d’être vraiment heureux. Peut-être sont-elles différentes de tout ce que nous avons pu entendre jusqu’à présent, peut-être nous demandent-elles de changer quelque chose dans notre vie, mais est-ce que ça ne vaut pas la peine de tenter l’expérience ?

Yohann Tourne travaille pour les Groupes Bibliques Universitaires en Centre-Ouest et au niveau national. Son rôle est d’encourager les étudiants chrétiens à faire connaître la Bible sur les campus français. Il est marié, père de deux petites filles et fait partie des responsables d’une église protestante dans l’Orléanais.

Extrait :

"Etes-vous quelqu'un de bien ? La plupart des gens ne répondent ni oui, ni non. Ils estiment être dans la moyenne, qu'il y a pire qu'eux, que leurs mauvaises actions ne sont pas si graves. Au fond, ils sont bons ... et puis s'ils ne sont pas bons ce n'est pas leur faute mais celle de la société qui les pervertit ! Etes-vous libre ? La plupart des gens répondent "bien sûr !", mais quand on leur parle d'arrêter certaines mauvaises habitudes, soit ils répondent qu'elles ne sont pas si mauvaises, soit qu'ils pourraient faire autrement mais qu'ils n'ont pas envie pour le moment.

Le but de ce chapitre est de démontrer qu'en réalité l'homme n'est pas libre de faire seulement le bien. Quand Baudelaire a écrit Les fleurs du Mal, il avait pour but d'extraire la beauté du mal. Ici nous allons faire exactement le contraire et voir que derrière les bons sentiments et la haute conscience morale dont font preuve nos contemporains se cache une réalité bien moins reluisante. Et nous allons commencer à le faire en utilisant le point de vue non biblique initié par trois mastodontes de la pensée ..."